Après la lecture d'Alice Miller (notre corps ne ment jamais, c'est pour ton bien...) et Adele Faber, Elaine Mazlish (Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent), je ne me pose même plus la question (enfin, perso n'ayant jamais reçu qu'une fessée dans ma vie, je savais que l'on peut
élever (1) accompagner un enfant sans cette "arme").
Que ferions nous si un chef nous frappait, nous humiliait, nous insultait (et cela arrive hélas parfois) car nous avons rendu un rapport en retard ou réalisé une faute ? Nous irions porter plainte non (nous devrions le faire en tout cas) ?
Alors comment pouvons nous envisager/accepter/excuser:justifier ce geste sur nos enfants ?
Cela dit, la fessée qui nous échappe, malgré toutes nos bonnes résolutions/intentions, si on reconnaît vis à vis de ses enfants son erreur, peut être "pardonnable". Nous sommes humains.
Mais ce geste, à mon sens, ne fait qu'illustrer notre incapacité, ce jour là, à ce moment là, à trouver une réponse adéquate (qui peut être fier d'avoir résolu un conflit entre adultes en utilisant ses poings ou une gifle ?).
(1) : référence à venir...